Le ministère de l’éducation nationale doit céder.

lundi 5 février 2007

Communiqué de la LCR.

Conseiller d’éducation, R.Veuillet, muté
arbitrairement de Nîmes à Lyon en 2003, en est à son 45e jour de
grève de la faim. Il veut que la sanction qui le frappe soit annulée et
qu’il puisse retrouver une affectation à Nîmes. Depuis 4 ans,
marathons et grève de la faim se sont succédés pour dénoncer
l’arbitraire d’une sanction administrative prise à l’encontre d’un
militant syndical qui a refusé de casser la grève des surveillants et
maîtres d’externat du lycée Dhuoda de Nîmes contre la destruction de
leur statut, la contre-réforme des retraites. En le sanctionnant, le
ministère de l’éducation nationale voulait faire un exemple, faire
taire toute contestation. En 2004, au bout de 39 jours de grève de la
faim, promesse lui avait été faite par le ministère que son dossier
serait réexaminé. Mais, actuellement, le ministère de l’éducation
nationale refuse d’avaliser la décision du Conseil supérieur de la
Fonction Publique qui, en 2005, s’était prononcé contre toute sanction
à l’égard de R.Veuillet. La LCR renouvelle le soutien absolu qu’elle
apporte à l’action de R.Veuillet. Elle exige de M.de Robien,
l’annulation de la sanction à l’égard de R.Veuillet et de la mutation
géographique obligatoire qui lui a été imposée.

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