Par F. C.
Le 7 novembre dernier, la cour administrative d’appel avait confirmé les sanctions disciplinaires. Ce militant syndical de 51 ans avait été suspendu et muté à la suite d’une grève dans un lycée de Nîmes, où il avait « pris l’initiative de libérer » de leurs obligations des collègues, ce qui devait entraîner des dysfonctionnements dans l’établissement. Roland Veuillet a toujours contesté cette décision. Depuis trois ans, il a déjà parcouru 16 000 km en courant pour dénoncer sa mutation. « J’irai jusqu’au bout car je suis dans mon bon droit », indique Roland Veuillet qui avait fait une première grève de la faim de trente-huit jours en 2004 près du ministère de l’Éducation nationale.
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