Roland Veuillet, conseiller principal d’éducation, est en grève de la faim devant le ministère de l’éducation nationale depuis le 30 août
Il conteste la sanction qui a conduit à sa mutation d’office en septembre 2003 de Nîmes à Lyon. Pour lui, il s’agit d’un acte de répression anti-syndicale.
Il est soutenu dans son combat par une intersyndicale qui exige la suspension de la sanction et l’ouverture d’une enquête administrative réexaminant son dossier.
Attac se bat contre les tentations actuelles de criminaliser les mouvements sociaux.
Nous soutenons donc les demandes de Roland Veuillet et de l’intersyndicale.
Ne laissons pas le néolibéralisme écraser les individus et bafouer les libertés syndicales.
Le bureau d’Attac.
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